à notre dame de la paix, les habitants de cette montagne reconnaissants, 1939-1945, je suis passé ici par hasard au mois d’août, le chêne et la vierge étaient sous la brume, je suis revenu en octobre pour trouver de nouvelles vierges dans les environs, je n’en ai pas découvert beaucoup de nouvelles, preuve que pour trouver il est parfois préférable de ne pas chercher, en chemin je retombe sur la vierge de la montagne, toujours par hasard, elle est toujours impassible, cette fois-ci sous une pluie glacée, le chêne lui est plus aérien, le poids des feuilles diminue à mesure que l’automne avance